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BPP262-1204.74-2 - Murder at Blackpoint Prison
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Fantôme
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Date d'inscription : 16/11/2017
MessageSujet: BPP262-1204.74-2 - Murder at Blackpoint Prison BPP262-1204.74-2 - Murder at Blackpoint Prison EmptyMar 23 Jan - 23:13

Rapport du Juge – Blackpoint Prison



Voici le rapport du Juge Von Castle concernant les évènements du 12 avril 1874 à la prison de Black Point. Puisse les évènements qui s’y sont produit être un message lumineux d’espoir pour les âmes défaites par le poids harassant du mal, ainsi qu’un symbole de terreur pour tous ceux qui ont voué leur corps et leur âmes aux ténèbres de la nuit Midiane.

Comme à mon habitude, je reçu l’ordre de mission au pied levé. Quittant mon lit pour me préparer, je vous l’voue mes amis, mon visage dans le miroir me fit tressauter. Pour moitié séduisant, pour moitié ignoblement défiguré, présentant encore quelque traces d’un sang impie quelconque qui avait dû échapper à mon nettoyage nocturne, ce visage me semblait être un témoignage de la dualité inhérente à la mission que je m’étais fixé : Sentence et Pardon. Une sentence de mort pour ceux qui ne veulent être sauvé des flammes de la damnation, le pardon des flammes sacrées pour ceux qui peuvent encore l’être. Peu de différence pour certain, le résultat final étant généralement mortel, mais les cœurs impies ne peuvent comprendre ce genre de nuances.

En salle de briefing, je fus mis en équipe avec Miss Eleanor Milner, une fillette avec qui j’avais déjà eu l’occasion de faire équipe et dont j’appréciais il est vrai son empressement à éliminer le mal, digne d’un véritable bébé semi-ange. Certaines rumeurs couraient à son propos, parlant d’une parenté avec Delingger, mais je ne suis pas le genre d’homme à propager celle-ci.

Il y avait également Balthazar Zacharias, un de ces êtres pour moitié humain, pour moitié répugnant, dont les origines impies et incertaines conféraient des pouvoirs particuliers. Cet homme avait la particularité d’avoir une jambe de bois, gagnée dès sa première mission, à la facture étonnement moderne. De tes êtres étaient utiles, certes, mais à surveiller tout de même.

Enfin, le quatrième membre de l’équipe me fit sérieusement douter de la santé mentale d’Abel Van Hellsing : un enfant d’une dizaine d’année se trouvait là, frêle et innocent, dans cette salle de briefing chargé de toute l’horreur macabre de l’enfer Midian. Un gamin dénommé James Murphy.

J’en avais croisé de nombreux dans son genre, il avait le regard de tous ces gamins des rues que j’envoyais dans les abris plus ou moins chaleureux des orphelinats. Quand je lui demandais qui il était, il m’avoua d’ailleurs immédiatement être un orphelin, tout en s’identifiant lui-même en tant qu’agent de la fondation. Miss Milner vint à sa défense, m’assurant de son efficacité, c’est pourquoi je décidai de mettre en attente mes projets de placement en orphelinat pour cet enfant qui ne me semblait pas être à sa place ici.

**************

Enfin, après une certaine attente, on nous présenta la mission du jour : dans l’une des pires prisons du royaume britannique, réservées aux récidivistes et experts de l’évasion, un homme, prisonnier au vu de ses vêtements, avait été retrouvé mort et entièrement dépecé, des traces de crocs vampiriques sur le cou.

Mon regard se tourna aussitôt vers l’enfant qui nous accompagnait. Mais à quoi Abel pouvait bien penser en confiant de telles missions à un être aussi jeune?

Nous fîmes nos petites recherches dans les archives à disposition. La prison de de Blackpoint était accessible uniquement par bateau, à peine deux fois par jour en raison de la marée. Reliée par télégraphe, seul son directeur était au courant de l’existence de la Fondation, qui y avait envoyé au cours des années quelques individus afin de les mettre au secret. J’avais moi-même dans une autre vie condamné certains individus à cette prison, ce qui me permettait de savoir que ce n’était pas un endroit où l’on partait pour purger une peine, mais bien pour y mourir sous le poids des mauvaises conditions de vie cumulées.

Puisque le corps était méconnaissable, mon premier instinct fut de penser à une tentative de l’un des prisonniers de se mêler aux gardes, mais il semblait que seul un prisonnier manquait, et aucun garde ne manquait. Un Change-forme, peut-être ? Ou autre chose ?

Il fut décidé de prendre les archives avec nous dans le train afin de pouvoir continuer à étudier le dossier sur le chemin de la prison, et nous nous mîmes en route. Le wagon qui nous était alloué était particulièrement luxueux, et je pus voir des étoiles dans les yeux de mes compagnons qui de toutes évidence ne connaissaient que très peu les fastes de la bonne société anglaise. Le temps d’un instant très bref, j’imaginais très clairement les choses comme elles pourraient et devraient être. Je vis Monsieur Zacharias habillé en gentleman, Miss Milner vêtue d’une robe élégante et le petit James dans la cantine d’un orphelinat, enfin à sa place entouré d’enfant de sa condition.

Emu par cette pensée, je parti prier le seigneur afin qu’il m’accorde bénédiction et protection pour la mission à venir. Entre mes mains, l’eau de ma flasque frappée du signe de la croix me sembla alors marquée par cette bénédiction divine. Tout était prêt.

***************

Dès notre arrivé sur l’ile, un garde paniqué vint à notre rencontre. La peau de la victime écorchée avait été « retrouvée ». Nous menant vers l’endroit de la découverte, nous découvrîmes ce qui restait de l’enveloppe charnelle de la victime disposé en une œuvre d’art à la fois grotesque et sordide. Sa peau, étirée, était suspendue dans les hauteurs d’une salle, formant une croix inversée impie. Un frisson de colère et de dégout me traversa l’échine, et que Dieu ai pitié de la première personne que je trouverai en travers de mon chemin.

On nous mena auprès du directeur, qui semblait être un homme pieu et fervent chrétien. Il nous donna davantage de détails que je n’écoutais qu’à moitié, l’esprit toujours plein de cette peau suspendue. On en apprit peu de sa part, si ce n’est des choses que nous savions déjà. La victime était selon toute évidence un certain John Elton, et l’homme qui était le compagnon de cellule de la victime était actuellement retenu dans la salle d’interrogation, attendant notre visite.

Avant de quitte le directeur, un doute m’assailli. Et si celui-ci était la bête que nous traquions ? Ce serait une couverture idéale pour lui. Afin d’être sûr, je sorti ma flasque encore pleine d’eau bénite et en aspergeait d’une giclée son visage. Je pu lire la stupéfaction et l’outrage sur son visage devant mon incivilité, mais l’expérience m’a appris qu’un physique effrayant et une bonne claymore bien aiguisée avaient tendance à rendre les incivilités beaucoup plus acceptable aux yeux de chacun. Je béni le directeur et sous l’impulsion de Miss Milner qui semblait prendre les choses en main, nous partîmes interroger le témoin, un certain Clayton.

La pièce dans laquelle il était retenu était pourvue d’une vitre sans teint. Il était seul et attaché, assis devant une table. Mes compagnons semblant ne pas savoir comment conduire un interrogatoire en bonne et due forme, je pris sur moi d’entrer afin de converser avec le suspect. Mon premier geste fut la giclée d’eau bénite, également en plein visage du témoin/suspect. Mais cette fois-ci, plutôt que de camoufler mon geste sous couvert d’une bénédiction, je lui intimais de se réveiller et de me regarder dans les yeux.

Ah, mes amis. Comment vous décrire le sentiment qu’éprouve un homme en retrouvant le métier qui était autrefois le sien et dans lequel il excellait. Je plongeais mon regard dans celui du criminel, et je pouvais presque sentir son âme damnée danser au bout de ses doigts. Clayton fut pris de tremblements incontrôlable et je poussais plus loin encore, mon âme s’enfonçant comme une lame chauffée à blanc dans de la chair tendre et sans défense à travers le raz de marée de péchés qui constituait sa vie.

Coupable ! Cet homme était coupable de désir indécents et sodomites ! De fornications incessantes pour masquer aux yeux du monde ses premiers désirs immoraux ! De brutalités, et de vols et de proxénétisme ! Coupable de la mort de sa grand-mère par sa négligence, coupable de tant de crimes ! Mais concernant la mort de son compagnon de cellule... Innocent…

Alors que l’homme semblait défaillir, ses cheveux devenir blanc et son esprit se consumer sous le poids de mon regard inquisiteur, je pris un moment pour méditer sur ce concept curieux que celui d’innocence. Clayton semblait s’être pris d’affection pour le dernier arrivé, et reprochait à John Elton, la victime, sa propension à brutaliser cet homme chétif nommé Oliver Barrent, mais en dehors de cela, il ne semblait pas qu’il ait commis le meurtre ou qu’il sache qui était coupable. Seuls les bruits de découpe, dans les ténèbres complètes de la nuit, étaient présents dans son esprit désormais en lambeau.

Je relâchais enfin mon regard, et mon Jugement fut rendu aux autres qui semblaient curieusement affolé de l’état dans lequel Clayton avait été mis par mon simple interrogatoire. Pendant que je sortais tranquillement de la pièce, je me souvint de cette fois ou un homme suspect de crime avait été tellement amoché par les policiers en charge de l’affaire qu’il n’était plus en état de faire une confession, poussant les policiers à amener la sœur du suspect sur les lieux pour la faire avouer en lieu et place de son frère et signer à sa place les aveux que les doigts brisés du suspect n’aurait pu écrire. Je suis hélas parfois bien tendre, moi qui me contente de regarder les coupables dans les …

Mon fil de pensée s’interrompit. Monsieur Zacharias, sans aucune raison, venait de s’assommer contre un meuble qui s’effondra en même temps que lui…

Personne ne semblait l’avoir poussé et attaqué, non, il avait juste….. Glissé…. J’entrais à nouveau dans la salle pour sortir le mentaliste unijambiste, et pendant que Miss Milner découvrait des marques de morsures vampiriques sur le poignet de Clayton, j’emmenais Monsieur Zacharias en dehors du sacré d’une salle d’interrogatoire afin de l’aider à reprendre ses esprits.

La première claque que je lui infligeai était pour le réveiller. Celui-ci ne réagissant pas, je lui en administrais d’autre, y prenant progressivement goût. Il commença à réagir et à se réveiller, c’est pourquoi je maintins mes efforts dans le claquage de visage à visée thérapeutique jusqu’à ce qu’il soit pleinement conscient. Et j’en rajoutais deux purement pour le plaisir d’infliger un soufflet à cet être aux pouvoirs contre nature avant de l’aider à se relever. Il était temps de passer à la prochaine étape de notre enquête : la morgue

******************

Ce fut une curieuse expérience que d’emmener un enfant d’une dizaine d’année dans une morgue afin d’examiner un corps dépecé. On lui fournit une blouse adulte pour protéger ses vêtements, comme à nous autre, et amis lecteurs, son absence de réaction devant la ce mort mutilé, les yeux crevé et la peau arraché, son regard jeune posé sans trouble sur ce corps affreux me glaça le sang. Quelle sorte de créature pouvait bien être cet enfant pour ne pas montrer le moindre trouble face à un tel spectacle ? Je me promis de bien faire attention à ce James Murphy.

Après examen, il apparut que le corps avait été dépecé post-mortem. Les yeux avaient été crevés, et il avait été drainé de son sang. Cela ne semblait pas ressembler à un rituel, davantage à un message, ou à une distraction, comme j’en fis part à mes compagnons. J’examinais à part la peau sans en tirer davantage et une conversation avec le médecin en charge de la prison nous permit d’apprendre qu’effectivement, la victime nommée John Elton était la brute locale, et était assez apprécié pour cela comme de juste dans un lieu tel que celui-ci. Nous lui posâmes davantage de questions et rapidement, il fut décidé de poursuivre notre enquête, la rumeur parlant d’un fantôme. Avant de partir, je concluais notre conversation par une bonne vieille giclée d’eau bénite dans le visage du médecin. Un manque de politesse complet que je camouflais en ponctuant de trois autres giclées formant une bénédiction chrétienne. L’absence de crucifix dans l’endroit et la réponse circonspecte de l’homme face à ma prière m’indiqua qu’il s’agissait probablement d’un athée, l’un de ces hommes faisant davantage confiance dans la science que dans la foi, chose qui ne me concernait aucunement. Je ressentis tout de même un élan de pitié pour ce pauvre bougre dont l’âme était vouée aux flammes de l’enfer, et qui se tenait sur la scène mortelle du Théâtre Midian.

Alors que nous allions visiter la cellule numéro 8 ou les évènements s’étaient produit d’après les rapports, en passant devant de nombreux détenus, le petit nous fit remarquer que certains d’entre eux ne semblait pas ressentir de peur, mais au contraire semblaient la simuler pour masquer quelque chose. Avant d’avoir eu le temps de se pencher davantage sur cette nouvelle donnée, nous fûmes appelés par un gardien affolé qui nous annonça la découverte d’un nouveau corps dans la crypte, un gardien cette fois !


**********************************

Nous nous sommes alors précipités à la rencontre de cette nouvelle découverte macabre, un pauvre homme clairement victime de la morsure fatale d’un vampire, effondrée au sol comme une marionnette à laquelle on aurait coupé les fils, mort à côté d’un tombeau au couvercle détruit, comme explosé de l’intérieur par une force surnaturelle.

Cet homme était mort au service de la nation. Son sacrifice fait pour assurer la sécurité des habitant du royaume britannique l’honorait de son vivant, et lui avait tout couté, jusqu’à sa propre vie. Il méritait tout notre respect.

Mais, mes amis, ma flasque était prête, dans ma main, et si le Directeur, le Suspect et le Médecin n’y avaient pas échappé, il n’y avait pas de raison que cet homme y échappe. La Mort elle-même ne pourrait protéger de la Sainte Giclée au Visage ! Et pour la première fois, cela fut effectif, la peau du cadavre se mettant à fumer et bruler.

Aussitôt, Monsieur Zacharias, qui attendait courageusement derrière moi, bien à l’abri, attaqua héroïquement le mort de sa lame. Le mort ne réagit pas, et Monsieur Zacharias tomba tout seul une SECONDE fois, sa jambe de bois devenue défectueuse, probablement suite à son mouvement inhabituel.

Avec un soupir devant ce manque d’efficacité de la part de ce mentaliste (à quoi donc cela a servi que sa mère vende son corps au diable si cela n’a pas permis au fils d’être un minimum efficace en échange ?), j’offrais les derniers sacrement et le Pardon au garde défunt dont les traces d’obscurité impies s’échappèrent, consumées par les flammes divine de la rédemption.

- Les clés, ils ont volés les clés !!! Le Bateau !!!!!

Ce fut le petit James qui remarqua cela en premier. Mes yeux ainsi que mes oreilles, pendant un court instant, ne pouvait croire ce qui se passait, et pourtant, c’était le cas.

Une MU…TI…NERIE....

Des êtres coupables tentant de renverser la décision de la justice, des êtres de violence, tentant d’user de violence pour sortir de l’endroit ou leur violence initiale les ont emmenés….

…..

…. Il leur faudra d’abord passer par le fil de mon épée. J’ai été Juge, je serai leur Bourreau !

Leur plan était donc révélé : par l’exposition du corps, ils s’assuraient une enquête, et donc l’arrivée d’un bateau leur permettant de s’échapper. Miss Milner et le petit James partirent comme des flèches, quant à moi, je décidais de soutenir le mentaliste unijambiste jusqu’aux champs de bataille.

Sa jambe trainante, il me demanda de le laissa là, mais je refusais : les mentalistes unijambistes sont des cibles de choix pour les balles, et son corps frêle pouvait me servir de bouclier tant que je l’aidais à avancer !

Nous avons enfin réussis à rejoindre Miss Milner et le petit James, barricadés derrière une porte sous le fracas des coups de feu.

C’est à ce moment du récit, mes amis, que les choses devinrent étranges. Et que le vrai complot vit le jour.


****************************


Alors que nous les avions rejoints, j’entendis les paroles prononcées par le petit James. Dans une langue étrange, une longue litanie diabolique. Et un démon apparu, tout droit venu de l’enfer. Aux ordres de James.

Il viendra, et aura l’apparence innocente d’un simple enfant. Lors des derniers jours de l’humanité sur Terre, aux portes de l’apocalypse, le faux prophète, l’enfant du diable viendra sur Terre, tentant de corrompre les derniers des Justes. Il commandera à la légion des démons, et l’Enfer suivra ses pas.

Une colère divine m’envahit. Cette nuque enfantine aurait été si simple à briser….

Mais d’autre méritaient également la fureur divine, d’autres qui eux tentaient de s’enfuir. Je décidai donc de rediriger vers eux ma rage, fonçant dans le tas !

Un premier homme tenta de me barrer la route, et il fut le premier à subir le tranchant de ma claymore. Mais sans doute lié à la confusion précédente, je ne lui fis qu’une blessure minime, lui tranchant un doigt uniquement.

Le traitre mutin se vengea en frappant du pied les parties que seule ma défunte femme avait eu le plaisir d’apprécier. Bien que mon visage ne se décompose pas, la douleur me mit à genoux, mes yeux brulant de rage fixés sur l’impudent. Les mutins semblaient vouloir nous bloquer l’accès au bateau, sans doute pour couvrir la fuite de leur maitre vampirique.

Moi vivant, jamais ! Malgré la douleur, je me relevai, et de ma claymore transperça celui qui m’avait agressé lâchement aux mini-Von Castles. La blessure semblait mortelle, mais des crocs poussèrent, ses mains se posèrent sur ma lame, prêt à entamer une lutte de puissance et de rage….
Interrompant ce combat de volonté, je fus mis à terre par une poussée venant de Balthazar, ce fils de catin incapable. Usant de mon adresse martiale forgée dans d’innombrables combats, je fis une roulade et je me mis à la poursuite de la vraie menace, le vampire.

J’arrivais finalement à notre navire, ou la créature avait tué notre navigateur et s’apprêtait à partir. J’aimerai vous décrire le monstre devant moi, mais ils ont pour moi tous la même tête, celle de l’hérésie sur le point d’être tranchée en morceaux ! Des lames d’ombres surgirent de nulle part et me transpercèrent, brisant ma course, mais certainement pas ma volonté.

Mes yeux se plongèrent dans les siens, puisant en moi la puissance de l’ange qui investit mon âme, afin de lui faire ressentir l’horreur de ses propres péchés, et je senti que cela réussissait… Mais au même moment, ce fils de catin de Balthazar arriva et fit une action qui sembla donner encore plus de force mentale à l’ennemi, qui parvient ainsi à se dégager de mon étreinte.

Une lumière jaillie au-dessus de la tête du vampire, le manquant. Miss Milner semblait être apparue, mais avait de toute évidence manqué son coup. Le vampire m’attaqua de son épée d’ombre, et sans difficulté, je parai. Il venait d’échouer son attaque, ce ne sera pas mon cas !

Abandonnant toute stratégie, je me gonflais de fureur, et dans une insulte, d’un coup de claymore, le trancha presque en deux, lui infligeant clairement de lourd dégâts. Un coup de feu retenti, mon attaque venait d’être doublée par un tir de Miss Milner. Ce pauvre Batthie tenta d’envoyer des pointes de flèches sur le vampire qui furent alors contrées. La créature était en train de s’envelopper d’une bulle d’ombre comme d’un bouclier. Elle était faible, et aux abois. Il était temps d’en finir !

La Sainte Giclée d’eau bénite lui rendit davantage de corps, suivit de ma lame, destinée à lui trancher la tête et le corps tout entier !

Un frisson me parcouru, et les yeux de la créature brillèrent d’un nouvel éclat. Elle put, par un miracle impie quelconque, bloquer ma claymore à main nue, et pris la fuite dans les eaux ombres qui entouraient l’ile.

La suite fut somme toute pathétique. Refusant de laisser la vie sauve à la créature immonde qui avait causé tout ce carnage, je plongeais à sa suite, mais inutilement. D’un nouveau rayon de lumière de Miss Milner, il fut achevé, ainsi que le carnage qui sévissait dans cette prison. Ainsi se termina mon implication dans cette mission

Mes recommandations :
Concernant Balthazar…. Lui proposer des missions plus simples ? Il est dit que certains membres des fondations ont des animaux, il pourrait peut-être les garder ? Je doute quand même de son efficacité même sur une telle mission.
Concernant Miss Milner, son efficacité m’a agréablement surpris. Des missions plus intéressantes pourraient lui être confiées.
Concernant le petit antéchrist, le bucher me semble une option correcte, mais un coup de claymore pourrait également faire l’affaire.

Puisse Dieu protéger le Royaume et la Reine
Puisse nos bras pallier aux épreuves du Malin
Le Juge
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